Une des parts la plus importante des travaux est la nouvelle peinture de pont antidérapante.
Grosse préparation avant le sablage du pont : tout protéger ce qui n’est pas démontable.


Le sablage effectué, une première couche pour recouvrir tout de suite l’inox. Froid dehors, donc on a du chauffer le hangar, 8 °C, c’était limite pour la peinture (et pour nous !)
En attendant la couche suivante, on s’occupe : Un capot qui fuyait un peu, démontage remontage avec du joint neuf.

Et surprise à l’arrière : en grattant un peu la petite tache de rouille…. le trou s’agrandit, s’agrandit !

En fait en vérifiant l’intérieur des coffres arrière, on voit que cette tôle vire à la dentelle…

Bon là il faut intervenir, ce n’est pas dangereux mais ça fait quand même de petites entrées d’eau dans le bateau, on ne peux pas traiter par le mépris, on va boucher à la résine epoxy.


On comprend pourquoi c’est rouillé : c’est malcommode d’accès!
Enfin on passe 3 couches de primaire, impossible de tenir debout sous la bâche plastique destinée à protéger de la poussière du hangar…

puis deux couches de blanc, qui sera la couleur de fond,

puis la peinture qui accueillera le sable qui fera l’antidérapant

puis tout de suite le sable


puis 2 couches de recouvrement et on déscotche, pour enfin voir le résultat :

Quelques dernières retouches et le pont est fini,

au bout de 9 couches de peinture, 4 h chaque fois ! Épuisés nous sommes ! Bon mais ceci fini, on retourne en Lozère, se mettre un peu au vert, ou au blanc s’il y a de la neige !